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« En voyage d’affaires » — Épisode 5 : Changement d’heure
28/10/2025
Depuis quelques semaines, c’est acté : tu ne peux plus sortir sur les routes ou pistes cyclables sans être éclairé, sans mauvaise conscience. « Voir et être vu » commence, pour moi, avant tout par un très bon éclairage vélo, puis par des éléments réfléchissants sur le vélo et sur les vêtements.
D’entrée de jeu : je ne suis pas du tout fan de rouler partout en ayant l’air d’un sapin de Noël éclairé, même si chaque automne les campagnes de sécurité publique semblent nous y inciter. Mais quand il s’agit d’éclairage vélo, pour moi il n’y a pas à discuter. Le meilleur moment pour allumer est aussi tôt que possible — ou au plus tard dès le début du crépuscule, voire en plein jour quand le ciel est gris. On se le doit à soi-même et aux autres : seule une bonne visibilité rend l’usage partagé des pistes et routes vraiment respectueux et sécuritaire. Et oui — je me sens vite mal à l’aise quand je croise des gens vêtus de sombre, sur des e-scooters ou vélos non éclairés.
Technologie passionnante
C’est tout simplement hallucinant ce que l’éclairage vélo moderne permet aujourd’hui. Au début des années 2000, on partait en nocturne avec des phares halogènes branchés sur des batteries énormes, et après 45 minutes c’était déjà faiblard. On traquait les « Chinaböller » dans les forums, importés avec attente et galères douanières. Bien sûr, aucune homologation, et il fallait charger la batterie dans une caisse pare-feu.
Mais ces temps «obscurs» sont heureusement révolus. Aujourd’hui, pour un prix modique, tu peux avoir des kits lumineux très puissants et fiables pour le quotidien du vélo — et si tu veux encore plus de performance, direction les marques premium comme Supernova.
Autonomie complète
Personnellement, pour mon trajet, je mise sur un système dynamo de moyeu. L’éclairage fixe fonctionne en toutes saisons. Pas de check batterie : je laisse tout simplement les feux allumés en continu. Je n’ai même pas le projecteur le plus puissant : un SUPERNOVA E3 PRO 2 assure fidèlement depuis plus de 10 ans, associé au feu arrière. Bien sûr, j’ai aussi un M99 DY PRO dont le faisceau est littéralement fou, mais je dois reconnaître que je préfère le rendu homogène du E3. Il est tellement régulier que c’est parfait pour le trajet boulot. Si j’avais des longues routes non éclairées ou des descentes rapides, je prendrais sans doute le M99 — il transforme la nuit en jour.
Petit clin d’œil : l’un des rares aspects que j’envie aux e-vélos, ce sont leurs systèmes d’éclairage intégrés. Le courant vient de la batterie. Et quand on voit ce qu’un MINI 3 peut faire sur 12 V … impressionnant. Mais pour installer ça sur une dynamo, il faudrait d’abord se débarasser de la vieille contrainte de la StVZO (6 V/3 W).
Au fond, comparé au passé, on rame moins haut. Il n’y a tout simplement plus d’excuse pour rouler sans éclairage et ainsi mettre en danger soi-même et les autres. Même un kit LED à 9,99 € d’un supermarché est mieux que rien. (Désolé Supernova ! ;-) )
Alors, dans cet esprit : lumière obligatoire !
Produits à longue durée de vie, jusqu'à 5 ans de garantie
Compensation certifiée des émissions de CO2 liées au transport (par exemple DHL GoGreen Plus / UPS CO2 Mitigation)
Produits sans PVC et prévention des déchets plastiques
Eco-Stream et Wind Gas de Green Planet Energy
Parc de véhicules composé de véhicules ou de roues électriques
Emballage de transport, certifié FSC + recyclable
